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Oumma.com ou le tourbillon du mensonge (Erratum?)

Mise à jour: Sans doute plus de peur que de mal… Certains de mes lecteurs ont peut être trouvé la réponse à ce dilemne. L’auteur parlerait d’arbres et non d’arabes comme il l’a écrit ! Encore étonnant de voir des chiffres aussi précis d’arbres déracinés surtout lorsque l’on parle en millions mais bon, si on sait compter les vaches et les abeilles, pourquoi pas les arbres imaginaires. On se demande vraiment où ils arrivent à trouver autant d’arbres en Israel qui fait 22000km2 à moins qu’ils aient compté les feuilles…et encore…

Que ceux qui ont un contact avec Oumma n’hésite pas à leur transmettre ce post.

Nombreux d’entre vous connaissent sans doute Oumma.com.

Oumma, site communautaire musulman créé il y a de très nombreuses années est à la fois un site d’information en texte et vidéo (via Oumma.Tv)

A titre personnel, je les avais un peu oubliés mais un reportage de France Culture qui interviewait les fondateurs du site m’a donné envie d’y jeter un oeil.

Je tombe donc hier sur le premier article de la page d’accueil indiquant que les ultra faucons israéliens avaient pris le pouvoir dans le pays.  Me fait toujours rire ce terme de faucons (quand on compare les messages du Likoud à ceux des pays avoisinants Israel, le Likoud pourrait paraitre d’extréme gauche)….mais bon, ce n’est pas le sujet car beaucoup de médias “neutres” ont utilisé les mêmes termes.

Avant de continuer, l’article dont je parle a été écrit par René Naba qui annonce sur la page avoir été l’ancien responsable du monde arabo-musulman au service diplomatique de l’Agence France Presse, ancien conseiller du Directeur Général de RMC/Moyen orient, chargé de l’information.

On parle donc d’un article écrit par une personne censée avoir une analyse claire et sensé du conflit. Qu’il ait un avis pour ou contre Israel n’est absolument pas dérangeant. Chacun ses idées…

Toutefois, affirmer et diffuser des informations complètement fausses en se faisant passer pour un expert est plus que dangereux quand on connait les tensions qu’elles peuvent attiser.

Voici par exemple:

Illustration symbolique du déracinement et de la volonté des Israéliens d’extirper les Palestiniens de leur terre ancestrale, la Palestine : Rien qu’en 2006, les Israéliens ont déraciné 13.572.896 arabes, détruit 787 silos, 788 fermes avec leurs animaux (14.829 chèvres et moutons, 12151 vaches, 16.549 ruches d’abeilles), détruisant 425 puits, 207 maisons, sans parler des assassinats extrajudiciaires et autres trouvailles juridiques de la merveilleuse efficacité israélienne tant célébrée partout dans le monde occidental.

Incroyable ce texte…alors que jusqu’à aujourd’hui, aucune liste officielle des décès à Gaza n’est sortie (et il n’y en aura jamais car faire connaitre les vrais chiffres et les noms des personnes touchées remettrait en cause toute la propagande palestinienne parlant d’une guerre contre des civils), on arrive ici à connaitre exactement le nombre de ruches d’abeilles détruites par Israel. Attention, on ne parle pas de 16550 ruches mais bien 16549 ! Quelle précision !

Mais ce n’est pas ça le plus grave….On parle ici de 13.5 millions d’arabes déracinés par Israel en 2006 !  Mais d’où sort ce chiffre débile ?

Il y a 7.2 millions d’habitants en Israel !

1.4 millions d’habitants à Gaza ! 2.3 millions en Cisjordanie !

Mais qui sont ces 13 millions de personnes ?? Si l’on prend cet article de Wikipedia, il est indiqué qu’il y aurait 9.3 millions de palestiniens partout dans le monde. Même si ce chiffre est sans doute exagéré (donné par les palestiniens eux même), comment imaginer que 13.5 millions de personnes aient pu être déracinées en une seule année en 2006 ? Année très calme d’ailleurs au niveau du conflit. Où sont ils passés ?

Il n’y d’ailleurs pas eu d’expulsion de qui que ce soit depuis des années !

Oumma et son rédacteur sont entrés dans un tourbillon de mensonges. Tout le reste de l’article n’est qu’un ramassis de chiffres complètement dingues et surréalistes. Le problème est que cet article est lu par des dizaines de milliers de personnes…Si on m’apprenait qu’effectivement 13 millions de mes frères étaient déracinés de chez eux chaque année, moi aussi je serais bien énervé…mais tout cela est bien faux.

Oumma, n’attisez pas la haine… nous n’avons aucun intérêt à ce que des conflits intracommunautaires puissent exploser à cause de mensonges et de propagandes. Si vous pensez que la “cause” palestinienne vaut la peine d’être considérée, n’en rajoutez pas! à moins que vous soyez obligés d’en rajouter pour pouvoir donner raison au Hamas & co….

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Tout savoir sur les comparateurs de prix grâce à Alain Robert

Alain Robert fait partie des lecteurs de ce blog et de mes followers sur Twitter. Il m’a envoyé la semaine dernière une fabuleuse étude sur les comparateurs de prix incluant quelques jolis passages concernant le positionnemment de Zlio.

Pour tous ceux qui voulaient tout savoir sur les comparateurs, voici donc le document idéal pour s’initier. Ne connaissant pas bien Alain, je lui ai demandé de se présenter…Voici donc sa présentation ci-dessous. En attendant, téléchargez son étude indispensable ! Bravo Alain !


J’occupe actuellement un poste de Responsable d’Exploitation dans l’un des multiplexes cinématographiques les plus prestigieux du Sud-Ouest de la France avec ses 13 salles, sa trentaine d’employés (équivalent temps pleins) et ses 970 000 clients en 2008 (et je travaille dans le cinéma depuis 21 ans et le cinéma est ma 1ère passion).

Tout au long de ces dernières années, je me suis intéressé aux nouveaux médias et en particulier à ceux tournant autour des nouvelles technologies de l’information et de la communication sur Internet. J’ai créé, parallèlement à mon métier de base, plusieurs sites Internet dont un – depuis 2003 (http://cinetribulations.blogs.com/tribulations) – est maintenant connu .

Je développe en ce moment un nouveau projet toujours autour du cinéma (http://cinewii.com). Ce projet est en phase d’élaboration dans le cadre d’une formation proposée par l’ESC de Toulouse (Marketing, Internet et e-Commerce, labellisée B.A.D.G.E – 2 à 3 jours/mois pendant un an, d’avril 2008 à mai 2009) qui donne les moyens de définir et mettre en place une stratégie e-Business (pour ma part, j’aime bien le Pinkomarketing). Au cours de ce cursus, je dois donc remettre un certain nombre de travaux individuels dont la fiche concept que je viens de t’envoyer. J’ai déjà été noté (plutôt très bien) sur plusieurs remises (fiches de poste, fiche de lecture,…) et la fiche concept sur les comparateurs sera défendue en toute fin de formation dans le cadre de la soutenance pour l’obtention du diplôme.

Enfin, j’ai 42 ans, je me considère souvent comme un surfeur fou, je suis marié, j’ai 3 enfants, apprendre m’a toujours passionné et apprendre aux autres encore plus. 😉

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Virements bancaires interminables: l’argent ne voyage pas à la vitesse de la lumière

Nous avons tous eu l’expérience de virements bancaires interminables.

Lorsque nous envoyons ou recevons un virement, nous ne savons jamais quand l’argent arrive à destination alors qu’il est immédiatement débité du compte émetteur. Va-t-il arriver dans 1 jour ? 2 jours ? 3 jours ? 1 semaine ? plus pour certains virements à l’international ?

Où passe notre argent pendant ce moment là ? Que se passe-t-il réellement ?

J’ai appris l’existence des chambres de compensation grâce à certains de mes contacts Facebook et Twitter.  Ces organismes se chargent de faire l’intermédiaire entre les différentes banques françaises. En gros, tout passerait par la Banque de France pour les opérations franco-françaises.

Une fiche Wikipedia vous donne plus d’informations sur le sujet

Toutefois, cette information ne répond pas à la question.  A l’heure des webservices/API et du traitement des informations en temps réel par un grand nombre de services, pourquoi cette opération ne peut-elle pas se réaliser immédiatement ? Pourquoi est ce que l’argent ne voyagerait pas à la vitesse de la lumière ? On retire d’un côté et on ajoute de l’autre ?

Il est évident que la banque a intérêt à faire trainer ces virements en plaçant l’argent disparu 1 ou 2 jours. A l’échelle d’une banque, cela représenterait des montants et des gains colossaux. Mais franchement, doit on se laisser faire ? Doit on continuer à accepter gentiment que nos banques jouent avec notre argent tout en continuant à nous facturer des commissions exorbitantes ?

Certains me disent que le but est de procéder à un contrôle anti fraude…mmm….pour contrôler quoi ?

Ce billet est encore temporaire. J’aimerais réellement comprendre pourquoi ces transactions ne se font pas en temps réel et si un banquier nous lit, il serait intéressant d’obtenir une réponse officielle. Je ne peux pas imaginer que nous, clients, nous fassions berner depuis des dizaines d’années sans rien dire.

Ce matin m’est arrivé une expérience encore plus incroyable : après avoir fait une demande de virement vers un autre compte vendredi dernier (banque française à banque française), j’apprends que la personne devant la recevoir ne l’avait toujours pas reçu ce jeudi matin.

En appelant ma banque, on apprend que le virement avait été “oublié” et “pas traité”. La banque a donc promis, pour s’excuser, de réaliser un virement express qui part ce matin et devrait arriver cet après midi sur le compte du bénéficiaire.

Alors comme ça, quand on veut, on sait réaliser des virements express en quelques heures ?

Pourquoi est ce que cela ne serait-il pas toujours le cas ?

Banquiers, à vos claviers, nous voulons des réponses !

PS: ce billet a été réalisé avec la collaboration de plusieurs de mes contacts Facebook et Twitter. Merci à eux.

Mise à jour : Cet article a été repris et analysé en profondeur par les équipes de Rue89/Eco89. A lire ici

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L’extension Firefox qui va nous faire sortir de la crise !

Facebook Diet - Firefox Extension to Block Facebook for 45min each hourIl est évident que nous ne sortirons pas de la crise si nous ne travaillons pas plus efficacement ! (j’ai pas dit que ça suffirait alors ralez pas 😉 )

J’ai découvert par hasard ce matin un plugin Firefox (sous la forme d’un script Greasemonkey) qui permet de bloquer l’accès à son compte Facebook pendant 75% de son temps !
En fait, simplement, le script bloque l’accès à Facebook 45 minutes par heure. C’est tout bête mais sans doute très efficace.  Je pense qu’il faudrait installer ça sur tous les postes des personnes qui travaillent.

Le script Greasemonkey est disponible ici (nécessite l’installation préalable de l’excellent Greasemonkey). Une extension Firefox indépendante est aussi dispo via le blog de l’auteur mais je n’ai pas réussi à l’installer.

Je me demande si on ne devrait pas faire ça pour l’email aussi…On peut passer une journée à envoyer et répondre à des emails sans vraiment se concentrer sur ses taches.

Mise à jour: Cet article a fait réagir Laurent Dupin de Libération

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Entrepreneurs : Faites gaffe aux grands groupes !

Je voulais échanger avec vous à propos d’un sujet très dangereux pour les entrepreneurs et surtout les entrepreneurs du Net.

Plusieurs grands groupes que je ne citerai pas ici pour des raisons évidentes se font un malin plaisir d’inviter des entrepreneurs à leur présenter leurs projets. Ils parlent de partenariats stratégiques, alliances, collaborations, tests grandeur nature…

Quoi de plus intéressant pour un entrepreneur que de voir un groupe pesant certaines fois plusieurs milliards s’intéresser à son projet ? Quoi de mieux qu’un gros partenariat pour faire exploser son chiffre d’affaire et assurer un succès à son entreprise ! On peut même imaginer une acquisition future…Le rêve non?

Malheureusement, la réalité est tout autre. Il est EXTREMEMENT rare pour une startup de signer un accord avec un grand groupe.

Au sein de Zlio, par exemple, nous avions eu affaire il y a un an avec l’un des plus gros ISP d’Europe. Après s’être mis d’accord sur l’ensemble de notre partenariat à l’oral (plusieurs confs calls et rdv), nous recevons un contrat:
1. n’ayant rien à voir avec ce dont nous avions parlé
2. avec un cahier des charges associé.

Il fallait que nous modifions une grosse partie de nos interfaces et passions des semaines de développement afin de pouvoir s’adapter aux besoins de ce partenaire. Evidemment, le partenaire en face ne pouvait s’engager sur aucun résultat, aucune promotion spécifique du service. Ils disaient juste qu’ils sont les N°1 dans leur pays (ce qui est d’ailleurs vrai) et qu’ils allaient faire “de leur mieux” pour promouvoir le service.

Si je n’étais pas un habitué de ces grands groupes, j’aurais plongé tête baissée, mais non, nous avons décidé, malgré le temps que nous y avions investi, à abandonner ce projet qui revenait à etre de la prestation de service gratuite pour ce partenaire. Son intéret cette fois là était de prouver qu’il pouvait être assez moderne pour inclure des services comme Zlio mais n’avait pas l’air de s’intéresser sérieusement aux résultats que nous allions générer ensemble.
Pour une startup, seul ce dernier point compte.

Il y a encore quelques mois, en septembre dernier, nous nous faisons contacter par la direction de l’innovation d’un grand groupe français très célébre. Celui-ci nous demande des informations sur le nouveau Zlio en préparation à cette époque et nous propose une rencontre. Bien que perplexe, je me disais qu’il n’y avait rien à perdre d’y assister.

La rencontre se passe fabuleusement bien. Tous les partis autour de la table s’entendent pour dire qu’il faut démarrer une collaboration test ensemble et nous prévoyons de nous revoir 2/3 semaines plus tard dans le but de préparer ce test.  En attendant, l’entreprise nous demande de signer un NDA (Non Disclosure Agreement qui consiste à garder toutes les discussions confidentielles). Là encore, par optimisme, j’accepte de signer ce NDA sachant qu’il y a toujours plus à craindre à dévoiler des informations à la personne avec qui on le signe que de craindre que les infos fuient à l’extérieur.
Nous fournissons suite à leur demande un accès à nos interfaces, des infos sur notre business model … On nous demande si la société de service de l’entreprise peut avoir un accès à nos interfaces pour voir comment les services peuvent s’interfacer….

On nous demande de travailler sur des maquettes, des idées de collaboration…tout ce qui peut nous passer par la tête. L’un de mes interlocuteurs me dit même que le travail que nous investirons pourra même être potentiellement rémunéré. Même si je n’y crois pas trop, je trouvais l’idée potentiellement intéressante.

A cause d’un probleme d’agenda, le RDV est reporté et se déroule fin novembre. Une dizaine de personnes du groupe assistent à la réunion. Nous présentons le projet et essayons d’avancer….mais non, quelque chose coince…
Notre interlocutrice commence à nous parler d’un autre projet…Un peu comme si vous demandiez à un fabricant de voiture de fabriquer des vélos…et nous demande si nous pouvons lancer cet autre projet avec eux.

Je réponds clairement que ce n’est pas notre métier et que nous ne sommes pas une SSII. De plus il existe d’autres startups dans le secteur plus adaptée que nous.

Je reviens au sujet initial et demande comment allons nous avancer…

Euh…nous devons travailler sur les specs…Cela va prendre quelque semaines et on se reparle à ce moment là…

Décembre, aucune nouvelle. Janvier aucune nouvelle malgré des relances. Fin janvier, on nous apprend via un email ferme que le groupe n’avait pas trouvé de piste de collaboration à court terme.

En gros, après avoir bien étudié 100% de notre modèle, fait travailler, nous annoncer qu’un test devait être lancé, on nous affirme que finalement, on ne voit pas pourquoi on travaillerait ensemble.

Situation ridicule certes mais qui ne m’étonne pas. Je suis juste étonné par la malhonnêteté de la méthode et le fait de prendre les entrepreneurs pour des sociétés de conseils gratuites à qui l’on peut demander ce que l’on veut sans risquer de recevoir une facture.

Cette même entreprise sévit encore et continue à vouloir faire signer des NDA à des startups…organise des réunions…toujours sans objectif précis…en laissant l’entrepreneur en face miroiter de fabuleux projets. J’ai appris aujourd’hui qu’elle proposait même d’auditer techniquement ces startups afin de voir “comment c’est fait” sans s’engager sur la moindre collaboration potentiellle.

Ce message est un avertissement pour vous tous. Ne participez à aucun RDV avec un grand groupe surtout si c’est à leur demande. Il y a TRES peu de chance pour que quoique ce soit se passe avec eux. Si un deal se concrètise après de gros efforts, vous risquez de devenir une société de service pour cette entreprise et perdre toute votre positionnement sur le marché. Si votre société est en danger, ce n’est pas auprès d’eux que vous trouverez une solution, bien au contraire.

Un grand groupe a très peu d’intérêt à vous aider à grossir, peu d’intérêt à vous racheter….mais beaucoup d’intérêt à vous pomper ! Soyez extrémement prudent !

(MISE A JOUR) : Attention, je parle ici de grands groupes pouvant potentiellement devenir concurrent. Je ne parle pas d’aller démarcher des groupes en tant que CLIENTS , ce qui est évidemment normal et ne pose aucun problème particulier (pas facile toutefois 😉 )
Cet article a été repris par le journal en ligne Eco89/Rue89

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Affaire Facebook : Les internautes sont de gros hypocrites !

Depuis des années, nous lisons des milliers d’articles concernant le piratage illégal de logiciels, de films et de musique. Les internautes demandent aux artistes et aux éditeurs de changer de modèle économique, de passer à un modéle tout gratuit…Plus de 500 000 films sont téléchargés illégalement en France chaque jour.

Les internautes ralent des tarifs des places de cinéma, pensent que la culture (sic!)  devrait appartenir à tous et être gratuite. Lorsque Luc Besson affirme dans une tribune paru dans le Monde il y a quelques jours qu’il faut combattre le fléau du piratage des oeuvres en ligne, il se fait incendier, injurier comme s’il avait demandé au monde de se séparer d’une de ses libertés élémentaires.

Depuis 48h, l’affaire Facebook fait fureur sur Internet. Facebook a, en effet, modifié ses conditions générales pour affirmer que les contenus que ses utilisateurs mettent en ligne resteront en ligne et seront propriété de Facebook après la suppression du compte de cet utilisateur.

Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook, a expliqué clairement pourquoi cette décision a été prise. Pour ceux qui pensaient que Facebook allait faire un “business” avec le contenu perso des utilisateurs, la réponse est tout autre tel qu’on le voit sur le blog de Facebook (Traduction française par Techcrunch France ci dessous)

Notre philosophie est claire; les utilisateurs ont le contrôle sur le partage de leurs données…La question posée est de savoir si Facebook peut utiliser ces informations éternellement. Quand une personne partage un message avec une autre, il existe deux copies, une dans dans sa boite à messages et l’autre dans celle de l’autre personne. Même si la première personne ferme son compte la deuxième copie est toujours intacte chez l’autre personne. Et c’est comme cela que fonctionnent tous les réseaux et le services email. Nous avons modifié les conditions générales afin que cela soit plus clair pour tous

En réalité nous ne souhaitons pas utiliser vos données d’une façon qui ne serait pas tolérable pour vous. La confiance dans notre réseau afin de partager des informations est l’aspect le plus important de notre travail et de nos efforts…

On remarque avec cette modification dans les conditions générales l’importance et la complexité du sujet. Les gens veulent avoir le contrôle complet sur leurs informations quand ils sont sur le service et quand ils le quittent mais ils veulent aussi avoir la possibilité de les partager avec qui bon leur semble; adresses, messages, email, numéros de téléphones,etc…Cela crée une ambiguïté forcement; difficile de mettre en place une fonctionnalité qui permettrait de contrôler mes données chez moi et à distance chez les utilisateurs avec qui j’ai partagé ces données.

Je trouve l’explication de Zuckerberg juste et claire. Le problème n’est pas évident et Facebook a du faire des choix. En tant qu’entrepreneur du Web, travaillant sur de nouveaux modèles de contenus, revenus, nous sommes confrontés TOUS LES JOURS à ce genre de problématique et devons trancher pour un choix ou un autre sachant qu’il n’y a pas de solution qui plaira à tout le monde. Comme je le dis souvent, il faudrait que je sois sponsorisé par Doliprane tellement ces casses têtes sont complexes.

Toutefois, la polémique enfle, des tonnes d’articles paraissent sur le Web insultant Facebook qui vole le contenu des utilisateurs. J’ai même vu dans l’un des statuts de l’une de mes “friends” Facebook qu’elle avait décidé d’effacer toutes ses photos de Facebook “suite aux nouvelles conditions générales”.

Quelle hypocrisie !! Lorsque vous téléchargez des films et de la musique en ligne, illégalement, vous pensez que vous avez une bonne raison de le faire. Vous avez transformé cet univers de vol en une liberté que personne ne devrait vous enlever.

Ah ? les contenus appartiennent aux auteurs ? aux musiciens ? aux artistes ? Cela ne change rien pour vous, les internautes. On continue à piller du contenu en téléchargeant parfois des dizaines de films,logiciels et musiques à la fois.

Maintenant que l’on parle de vous enlever vous droits sur VOS contenus, vous ralez ! Quels voleurs ces gars de Facebook !!!

On ne parle pas de contenu ayant couté cher à créer dans ces cas. On parle de photos persos en général sans valeur, de statuts racontant que l’on est en train de faire la vaisselle, de vidéos à 90% pompés de gens à qui elles appartiennent vraiment.

Mais non, pour cela, on parle de liberté individuelle, d’atteinte au droit de la propriété. J’ai même vu Facebook appelé Facistbook aux Etats Unis.

Désolé, mais vous, internautes êtes hypocrites et égoistes. Si le contenu ne vaut rien comme vous le laissez entendre en téléchargeant des tonnes de contenus illégaux, le votre ne devrait rien valoir non plus !

A bon entendeur…

PS: Pendant que j’écris ces lignes, Facebook annonce avoir cédé à la pression et repasse à ses anciennes conditions générales.
La majorité a parlé…mais la raison, elle, reste au placard.

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Google Books enfin dispo sur mobile !

C’est la news du jour: Google Books est enfin disponible en version mobile !

Google Books
est à mon sens, l’une des plus grandes innovations de Google ! Cette base de connaissance phénoménale accessible gratuitement change réellement la vie de ceux intéréssés par n’importe quel sujet (de la cuisine à la philosophie en passant par la physique nucléaire, la religion et la médecine)

En fait, la version mobile n’est pas complète car seuls les livres ayant pu se faire OCRisés sont disponibles au sein de cette version. Les vieux manuscrits ne le seront donc pas.

Vous pouvez ensuite lire ces livres sur votre Iphone ou téléphone sous Android.

Cela vous fait juste 1.5 millions de livres en anglais à lire et 500.000 en dehors des US.

Bonne lecture ! 😉

Pour accédez à Google Books Mobile, utilisez cette URL : http://books.google.com/m

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Interview de Jeremy Fain: PDG de Verteego, le Business Object du Développement Durable

Aujourd’hui, je voulais vous présenter Verteego dont je suis l’un des modestes actionnaires. Jeremy Fain, en plus d’avoir un prénom fantastique, est le fondateur du blog collaboratif Tech IT Easy, un blog anglophone impressionnant de par ces analyses sur plusieurs sujets dans le monde de l’IT.

Jeremy nous expliquera dans cette interview ce qu’est Verteego, comment lui est venu cette idée ainsi que son parcours !

Interview
Peux tu te présenter ?

Je m’appelle Jeremy Fain, j’ai 26 ans. J’ai cofondé Verteego. Je m’occupe en particulier du marketing, du back-office & des ventes.

Qu’est ce que Verteego?

Verteego est une startup qui se consacre à l’édition et la commercialisation de solutions de développement durables pour les entreprises.

C’est-à-dire qu’en gros, on aide les entreprises à valoriser leurs bonnes pratiques sociales et environnementales auprès de l’extérieur.

A ce jour, Verteego commercialise 2 services, accessibles par abonnement:

Verteego Report (http://www.verteego.com) dédié à la création et la publication par les PME-PMI de leur rapport de développement durable; et

Verteego Carbon, (http://www.verteegocarbon.com) logiciel de réalisation de son Bilan Carbone ADEME sur Internet à destination des consultants habilités Bilan Carbone et des directions Environnement des grands comptes.

Verteego, ce sont aussi et avant tout 7 personnes passionnées & enthousiastes qui souhaitent permettre aux organisations d’être autonomes dans leur appropriation du développement durable grâce à des outils simples, abordables, et efficaces.

Verteego est labellisée OSEO Innovation, incubée par Agoranov, lauréate de Scientipôle-Initiative, membre du réseau Durapôle et du cluster Optics Valley, et surtout organizational stakeholder de la Global Reporting Initiative, un groupe de travail créé par l’ONU et qui réfléchit à des batteries d’indicateurs de développement durable pertinentes pour les entreprises – réflexions que nous intégrons pleinement à nos services en ligne.

A qui t’adresses tu?

Verteego Report (http://www.verteego.com) s’adresse clairement aux PME-PMI. On permet aux PME de réduire leur déficit de compétitivité face aux grands groupes qui ont les moyens de faire faire chaque anné un pavé sur leur développement durable. Grâce à Verteego Report, les PME communiquent leurs bonnes pratiques et mettent en valeur leurs atouts.

Elles peuvent aussi utiliser leur rapport comme outil de communication auprès de leurs actionnaires, de plus en plus sensibles à la responsabilité sociétale, et de leurs donneurs d’ordres – c’est-à-dire que les PME-PMI annexent leur rapport de développement durable à leurs réponses à des appels d’offres, publics ou privés.

Ce qui leur permet de remporter plus d’affaires et de développer de nouveaux marchés. Verteego Report est également un outil de référencement web car les rapports sont accessibles publiquement sur une adresse Internet personnalisée contenant un lien vers le site de l’entreprise. Par exemple celui de Zlio: http://www.verteego.com/report/zlio

Quant à Verteego Carbon (http://www.verteegocarbon.com), il s’agit avant tout d’un outil destiné aux grands comptes industriels multisites, aux collectivités publiques, et aux consultants habilités Bilan Carbone ou autres bureaux d’études en environnement. Mais on reçoit de plus en plus d’appels entrants de PME – PMI souhaitant réaliser elles aussi leur Bilan Carbone, car faire son Bilan Carbone permet de mieux comprendre ses processus pour les rationaliser, et minimiser son risque et ses dépendances énergétiques en réduisant ses émissions de CO2 et de manière générale son empreinte écologique.

Quel est le business model de la plateforme?

Verteego.com fonctionne sur le modèle des abonnements freemium: toutes les entreprises peuvent gratuitement se créer un compte illimité dans le temps et en nombre d’utilisateurs, mais limité dans les thèmes que contiendra leur rapport de développement durable. Pour les entreprises qui upgradent leur compte à la version payante et qui donc ont accès aux 56 thèmes du rapport (au lieu de 5 thèmes en version gratuite) et à du support personnalisé par email, le coût est modique (EUR 29,99/mois).

Verteego Carbon
est un service payant, dont l’abonnement pour un an (6 mois au maximum pour la collecte, puis 6 mois de conservation des données) coûte EUR 500 / mois / site physique (sachant qu’un site physique équivaut grosso modo à un compteur d’électricité).

Es tu a la recherche de partenaires?

Oui, Verteego recherche des partenaires: notamment des grands comptes industriels cherchant à mettre en place des politiques d’achats responsables (intégration dans la sélection des fournisseurs de critères de responsabilité environnementale & sociale en sus des traditionnels qualité, coûts et délais), des collectivités qui souhaitent outiller les PME-PMI de leur territoire avec des systèmes de management de leur développement durable, et enfin des fonds d’investissement (LBO, capital-risque, OPCVM,…) qui, face à la crise, souhaitent intégrer une démarche d’investissement socialement responsable (ISR) dans leur sélection de sociétés et la gestion de leur portefeuille.

Comment es tu venu a travailler sur ce projet?

Je viens du web, qui est une passion, et avais toujours eu une sensibilité “écolo”, mais pas purement environnementaliste: je pense qu’il est impensable dedissocier les préoccupations environnementales (lutte contre les changements climatiques) de leurs conséquences sociales (inégalités croissantes), sociétales (réfugiés climatiques), ou en termes d’innovation (la hausse des prix du pétrole, que je regrette, avait poussé à plus d’inventivité) et de gouvernance et transparence.

Je pense aussi être un entrepreneur dans l’âme, c’est quasi-génétique: personne n’est salarié dans ma famille, même si ce sont principalement des professions libérales. Donc la question n’était pas ‘allais-je créer une entreprise’ mais ‘quand’, ‘où’ et ‘quoi’.

Ensuite, et c’est peut-être le point le plus important, j’ai pu constater que le fait que beaucoup d’entreprises faisaient du développement durable mais qu’au contraire des grands groupes qui ont les moyens, elles ne le communiquaient pas. “Faire du développement durable”, c’est tout aussi bien respecter ses employés et partenaires en affaires que mettre en oeuvre des actions de réduction de son impact environnemental. Avec mes associés, nous avons trouvé dommage que les PME n’aient pas d’outil de communication abordable efficace, comme peut l’être Verteego Report ;), pour dire tout haut ce qu’elles font de bien tout bas.

Enfin, pour les chefs d’entreprise et leurs collaborateurs qui entendent parler toute la journée de développement durable mais qui ne savent pas par où prendre le problème, nous avons aussi conçu Verteego Report pour les sensibiliser à ces problématiques, leur offrir un cadre de prise de conscience des enjeux qui concernent leurs activités, et d’amélioration de leur performance développement durable.

Quant à Verteego Carbon, on a tout simplement eu beaucoup de demande de la part de grands comptes pour un tel service. Donc on l’a développé et commercialisé, et ça marché très bien!

Est que ton parcours en tant qu’élève d’HEC t’est utile?

Alors, j’ai été diplômé d’HEC en juillet 2007, mais j’avais quitté de facto le campus en juin 2005 avant de partir en année de césure à l’étranger, puis de faire ma majeure en informatique & télécommunications sur les bancs des ingénieurs de Centrale Paris.
Il est clair que j’ai appris plein de trucs utiles à HEC, qui est une excellente école sur un campus où l’on s’amuse bien tout en se forgeant une bonne culture générale des sciences de gestion.

Mais quand on est entrepreneur, finalement, ce n’est pas tant le diplôme ou les études qui comptent que le culot, la capacité à prendre du recul tout en étant dans le feu de l’action, la volonté de répondre au mieux aux besoins des clients – et ça, ça ne s’apprend nulle part.

J’ai même envie de dire qu’un diplôme, quelqu’il soit, c’est de “l’inertie acquise” – l’expression est de Paul Valéry je crois – et que l’inertie est par définition contre-productive pour un entrepreneur.

Par contre, il est évident qu’un diplôme sert à rassurer ses clients et son banquier, comme ça peut rassurer sa belle mère, mais ce n’est évidemment pas une fin en soi et ne garantit rien dans la réussite d’une aventure, au contraire de la volonté réussir et de la qualité d’un positionnement, d’une équipe, et d’un service. C’est a fortiori encore plus vrai quand on parle de web et de développement durable qui sont deux continents nouveaux à part entière.

Qui sont tes collaborateurs?

Ca me fait plaisir que tu me poses cette question, car sinon, je t’en aurais de toutes façons parlé. Mon plus grand plaisir depuis le début de l’aventure Verteego, au-delà même de satisfaire les centaines d’entreprises qui utilisent nos services au quotidien et d’acquérir chaque jour de nouveaux clients et utilisateurs, c’est d’aller au bureau tous les jours et de travailler avec mon équipe.

Concrètement, nous sommes trois à être à l’origine de Verteego: Rupert Schiessl, autrichien, HEC aussi, ayant réalisé sa majeure à Télécom Paris, qui gère l’équipe de développement des produits et toutes les questions d’interface et ergonomie; et Damien Arbault, ingénieur chimiste spécialisé dans la comptabilité environnementale, qui conçoit et modélise nos méthodologies d’évaluation et de calcul de la performance développement durable – méthodologies que l’on intègre dans nos produits.

Depuis l’été 2007, les fondateurs ont eu le plaisir d’accueillir des Verteegeeks très brillants, Vianney, Ben et Keenan notamment, venus renforcer l’équipe de développeurs web comme le bureau d’étude. Je peux te dire que rares sont les candidats qui viennent en entretien au bureau qui ne nous disent pas qu’ils ont rarement vu dans une boite une aussi bonne ambiance de travail.

L’avenir de Verteego c’est quoi?

Pas facile comme question. L’avenir de Verteego, c’est des centaines de millions d’entreprises de toutes tailles qui utilisent Verteego Carbon (http://www.verteegocarbon.com) pour calculer leurs émissions de CO2 et réduire par la suite leur empreinte carbone, et qui communiquent sur Verteego Report (http://www.verteego.com) ce qu’elles font de bien en termes de responsabilité environnementale et sociale.

J’invite d’ailleurs tes lecteurs à créer leur compte gratuit et publier leur rapport de développement durable sur une adresse Internet personnalisée de type http://www.verteego.com/report/votreEntreprise à partir du lien suivant: http://www.verteego.com/signup

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Images de Gaza: Ne vous laissez pas manipuler !

Personne ne dira qu’aucun immeuble n’a été détruit à Gaza, qu’aucun civil n’a été touché mais à entendre les propalestiniens de tout bord, Israel visait délibérément des civils et des immeubles de civils sans aucune raison (Quels assassins ces sionistes assoiffés de sang!)

Les palestiniens sont les rois de la propagande, du mensonge et de la désinformation. Ils ont encore réussi lors du dernier conflit à faire passer les attaquants (le Hamas qui ne voulait pas arréter de lancer ses roquettes) pour les attaqués. Lors du conflit à Jenine en 2002 (vous vous souvenez de Jenine dont tout le monde parlait), tous les médias (incluant nos chaines de télévision françaises) parlaient de 1500 morts dont quasiment tous civils ! Au final, il s’est avéré qu’il y avait 54 morts palestiniens dont 45 tombés au combat  comme le confirme Human Right Watch et le directeur de l’hopital de Jenine.

Il existe un terme que l’on utilise en Israel pour citer ces images manipulés qui passent souvent dans les médias occidentaux. Ce nom est Pallywood du nom d’un documentaire vidéo datant d’il y a quelques années et est devenu le nom de code de toutes ces images/vidéos organisés (voir la fiche Wikipedia de Pallywood qui rapporte les faits les plus importants). En tapant Pallywood sur Youtube, vous trouverez un grand nombre de vidéos de ce genre.

Petite parenthèse intéressante: La déformation des faits historiques est une pratique courante dans l’Islam. Le Coran en lui même a modifié plusieurs passages de l’histoire.
Un exemple ?
Le Sacrifice d’Isaac dans la bible est devenu le sacrifice d’Ismael dans le Coran par exemple et ce, 2000 ans après le don de la Bible/Torah sur le mont Sinai (-1313 avant JC). Cette version du sacrifice d’Isaac fait partie du patrimoine du judaisme et du christianisme. La théorie de sacrifice d’Ismael n’est arrivé qu’après la publication du Coran soit bien après l’an 622 après JC (l’Hégire). C’est cet évènement qui est fété par les musulmans du monde lors de l’Aid El Kebir (la célèbre fête du mouton)

Choisir Ismael comme sacrifié par Avraham permet à l’Islam de remettre en cause l’élection du peuple juif (je ne reviendrais pas sur ce terme et ce qu’il implique maintenant) et de dire que finalement, le vrai peuple d’Israel choisi par Dieu est en fait le peuple arabe. Isaac ne serait qu’un enfant sans intérêt d’Avraham et ses descendants (les juifs) aussi.

Bon moyen de justifier ses crimes contre ces traitres de juifs non ?

C’est un exemple simple et qui date d’il y a 1500 ans mais l’histoire n’est qu’un cycle qui se répéte en permanence…et c’est souvent en étudiant le passé que l’on arrive à décrypter le futur.

Revenons aux images…J’ai pu voir un reportage sur AlJazeera d’un père qui affirme avoir perdu ses enfants dans un bombardement…Le père affirme qu’il n’a même plus de photos de ses filles afin de pouvoir se rappeler d’elle. AlJazeera se fait un plaisir de montrer en boucle ce père à qui les israéliens auraient tout arraché. L’un de mes correspondants musulmans algériens vivant en France m’a dit “Tu vois que ce sont des barbares ces israéliens, il n’a même plus de photo de ces filles”. Ce reportage a vraiment fait son effet. (Au passage, je reviendrais un jour sur les discussions que j’ai pu avoir avec lui qui justifiait les attentats du 11 septembre et tous les attentats qu’il y a eu dans le monde ces dernières années. Ce monsieur vit à Toulouse.)

Plusieurs points à noter:
– L’image de ce même père a fait le tour du monde. On retrouve sa photo dans les décombres au sein de plusieurs sites tels que LeMonde.fr par exemple et les agences de presse ont repris cette photo des dizaines de fois. Etait ce le seul père qui a eu affaire à ce malheur pour qu’il soit toujours mis en avant ?

– Le père se balade au dessus de gravats et sort, comme par hasard devant les caméras, une peluche de sa fille sus une pierre…Comment se fait il que dans une grande partie des vidéos d’AlJazeera , on voit la même chose ? Un membre de famille qui soulève par hasard une pierre pour trouver une photo ou un vêtement d’un de leurs parents. Allez voir, c’est assez marquant…

– Personne ne se demande qui est cette personne et pourquoi Israel aurait tiré sur sa maison à lui et non pas toutes celles qui l’entourent. 99% des maisons de Gaza n’ont pas été touchées !

– Le père ne verse pas la moindre larme en “découvrant” les décombres de sa maison.

Le seul but de mon message n’est pas de justifier le moindre mort civil ni de dire qu’il n’y a pas eu de père ayant vraiment perdu ses enfants lors de ce combat. Les victimes de la guerre sont toujours trop nombreuses.  Mon but est remettre les choses à leur place et vous demander de vous méfier par tout ce que vous voyez. Les images sont choquantes, souvent odieuses…mais Ô combien manipulées.

Un article de “Il Corriere Della Serra”, célèbre journal italien revient d’ailleurs sur le nombre de victimes de Gaza, qui seraient selon des témoignages de 600 et non de 1300 comme indiqué par les “services palestiniens”.

Vous trouverez l’article en italien ici et sa traduction en français là.

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