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Month: October 2006

Qui est passé à IE7 et a abandonné Firefox ?

Parce que c’est ça la bonne question à poser 🙂 !

IE7 , ça peut être bien mais est ce que les fanas de Firefox ont basculé à cette nouvelle version ?

Je crois avoir lu que l’on ne peut pas avoir IE6 ET IE7 sur une meme machine. Vous confirmez ?

A vous !

Mise à jour: Les commentaires déjà déposés sont très intéressants (à lire ici). On y apprendre grâce à Stéphane, comment avoir IE6 et IE7 sur une meme machine simplement en renommant iexplore.exe en iexploreold.exe avant l’installation d’IE7. Je viens d’essayer , ça marche impeccablement bien !

Remise à jour : Non non, la solution de Stéphane ne fonctionne pas ! SLIxx nous propose de télécharger une version “standalone” d’IE6….(à voir ici)

Kwa nous donne aussi en détail les raisons de son passage à IE7.

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Interview de VC N°2 : Ouriel Ohayon de LGiLab et Techcrunch France

Suite de mes interviews de VC..!

Après Jean David Chamboredon de 3i (a lire ici) , c’est Ouriel Ohayon que beaucoup d’entre vous connaisse que j’interviewe aujourd’hui. Lors de mon passage à Paris cette semaine, j’ai été étonné du nombre de personnes ayant lu l’interview de Jean David et m’ayant demandé la suite !

A notre époque où beaucoup d’entrepreneurs cherchent à lancer leur entreprise, j’espère que ce genre d’articles vous aideront à vous éclairer. N’hésitez pas à me dire si vous avez d’autres questions à leur poser.

Ouriel a une particularité. Il est français d’origine mais le fond d’investissement qu’il dirige est israélo/américain.

Interview
Bonjour Ouriel, Peux tu te présenter (à titre personnel) ?

Pour la version serieuse

34 ans, Francais, né a nice, étude en France (HEC) et Espagne (ESADE). J’ai commencé à travailler dans la grande consommation (Reckitt/Danone). Puis ai créé une boite internet (Luckyvillage) en 2000 revendue en 2003. Depuis 3 ans je suis israélien ou je vis à Tel Aviv. J’ai travaille pour ICQ /AOL et désomais dans un fonds de capital-risque.

Pour le reste

J’adore la musique; je suis pianiste depuis plus de 20 ans. J’adore le jazz mais aussi toute sorte de musique; j’aime aller vite, j aime le cinéma, les BDs, le sport, les bons restos et une ENORME passion pour l’internet depuis longtemps. Et depuis un peu plus d’un an pour les blogs et médias sociaux.

Concernant les blogs j’en tiens 2 (bientôt plus): mon blog personnel www.ourielohayon.com et www.techcrunch.fr la version francophone d’un petit blog américain dont on commence à parler.

Pour l’anecdote, mon employeur actuel m’a repéré grace à mes blog. Mieux qu’un CV 🙂

Qui est LGILab ? Qui sont Gemini et Lightspeed ? Ces fonds ont t’il une particularité ?

Gemini Israel Funds (www.gemini.co.il) est historiquement le premier VC en israel (depuis 13 ans) avec une représentation dans la cote Ouest et l’un des plus respectés dans la région.

LightSpeed Venture Partners est un fond américain basé dans la Silicon Valley mais avec des représentations en Israel et en Asie. Ces 2 fonds sont dédiés au high tech en général (internet, logiciel, …).
Une particularité? je ne suis pas sur de si bien connaitre l’industrie pour bien comparer. Mais ce que je peux dire pour avoir aussi vécu de l’autre cote du miroir,  c’est qu’ils sont très pros et que les entrepreneurs aiment bosser avec eux.

LGiLab (www.lgilab.com) est une récente joint venture de 2 fonds d’investissements dédiée spécifiquement au financement de sociétés internet en phase de démarrage en Israel et aux Etats Unis. J’ai rejoint ces 2 sociétés pour diriger les opérations avec Dan Ciporin qui est l’ancien patron d’une petite startup qui a bien réussi….. Shopping.com. Nous avons pour objectif de mener 10 investissements en 2 ans.

Peux tu me citer certains de vos succès passés ainsi que les plus belles sociétés de votre portefeuille actuellement dans le monde ?

Pour LGiLab on se donne RDV dans 5 ans pour mesurer le retour?
Pour Gemini : Commtouch (cotee au NASDAQ /solution anti-Spam/webmails)
pour LightSpeed : DoubleClick (gestion de campagne pub).

Quelles sont les tendances que vous suivez particulièrement en ce moment (Vidéo en ligne ? Shopping 2.0 ?) ?

Nous suivons toutes les tendances. Et nous nous intéressons aux projets qui peuvent changer ameliorer de maniere substantielle les règles d’un marché ainsi qu’aux innovations susceptibles d’aboutir à la création d’un nouveau marché.
Nous nous intéressons en particulier à l’internet grand public. L’internet ne se limite pas à l’ordinateur et s’etend aussi au mobile et à la télévision de demain. Beaucoup de choses sont en train de changer dans le domaine de la creation et distribution de contenu, mais aussi dans les services aux entreprises.

Il est encore possible d’innover dans tous les secteurs (vidéo, recherche, shopping, reseau) et nous sommes stupéfaits et agréablement étonnés de voir le niveau de créativité des entrepreneurs meme si la créativité n’est pas le seul critère suffisant.

Quel conseil donnerais tu à un entrepreneur qui voudrait se lancer aujourd’hui ?

* De se lancer et de bien s’entourer. L’industrie du web etant mure voir tres concurrentielle, il est important de bien connaitre le secteur ou vous vous aventurez et disposez des compétences adaptées à un secteur donné.
* Ne pas avoir avoir peur d’un échec et accepter l’erreur comme un tremplin vers une solution et une meilleur execution.
* Allez vite, tres vite / Pas trop quand meme
* Se lancer tot, très tot/ Pas trop quand meme
* Lever des fonds vite/ Pas trop quand meme

Que doit faire un entrepreneur souhaitant lever des fonds aujourd’hui ? Prendre un intermédiaire ? Te contacter en direct ?

Me contacter en direct. Mais précision importante je ne finance que des sociétés israéliennes ou ayant une partie des opérations en israel.

Quelles sont vos critères d’investissements ?

Les entreprises que nous financons sont très très jeunes. Il y a donc tres peu d’assets (NDLJB: acquis/biens/propriétés) à évaluer. Nous mettons en premier critère la qualité de l’équipe et leur compétence spécifique par rapport au projet qu’elle veut lancer, mais aussi sa capacité à se remettre en cause et à innover et s’adapter.

Les projets internets sont protéiformes et organiques. Ils changent avec le temps et nous avons besoin de sentir que les entrepreneurs sauront jongler dans un écosysteme en mutation permanente et concurrentiel.

Evidemment l’idée, mais il est tres rare d’avoir a faire à une mauvaise idée. Nous cherchons donc à évaluer la qualité d’execution. Enfin nous cherchons à faire la différence entre un projet qui peut réussir et un projet qui a un très gros potentiel. Les perspectives de revenus sont importantes de meme que la capacité a monter en charge rapidement sans un gros investissement

Quel est le plus gros problème que rencontrent les sociétés que vous financez ? (Business Model ? Recrutement ? Taille du marché ? Internationalisation ? )

Nous rencontrons beaucoup de bons projets mais pas assez de grands projets. Notre ambition est d’essayer de trouver un acteur qui peut avoir une chance de devenir un leader international dans son secteur. C’est pas facile. Mais pas impossible.

Peux tu nous donner un ordre d’idée des valorisations moyennes des sociétés dans lequel vous investissez ?

Oui c’est très simple. Nous n’attribuons pas de valeur en phase de dmarrage et allouons un prêt allant jusqu’à 1 millions de dollars qui est transforme en actions si l’on suit dans un investissement suivant et sur la base d’un historique de sociéte réel (utilisateurs / revenus).

La valorisation est alors convenue sur des bases moins theoriques. Cette mécanique nous permet de prendre des décisions très rapidement et de se concentrer sur l’important en phase de démarrage; lancement rapide et validation du concept.

Quelle différence y’a t’il entre votre approche depuis Israel comparée à celle de votre partenaires Lightspeed aux Etats Unis ?

Le marché Israelien de l’internet est bien moins mur sur le plan entrepreneurial que sur le marché américain. Il y a plus d’entrepreneurs et donc un deal flow plus lourd aux USA. Notre approche est assez similaire, les méthodes de travail sont proches mais nous évaluons me semble t’il les projets et les équipes de manières differentes.

Quelles sont les services Internet que tu utilises régulièrement ?

Des tonnes car je teste tout. Mais surtout BlogLines, Gmail, NetVibes, Wikio, Digg, Techmeme, Maxthon (mon navigateur), Skype/Gtalk, Blogjet pour bloguer depuis mon bureau, Flickr, Youtube, Dailymotion, Delicious (mes favoris sont sur http://del.icio.us/misteroo), Alexa (que je deteste mais utilise quand meme), plein de sites d’ecommerce et Zlio bien sur!

Pour finir, comment trouves tu le temps de gérer TechCrunch France ?

J’ai une armée de chinois géniaux….:) non sérieusement Je dors peu et travaille vite. J’y passe environ 2/3 heures par jour tous les jours. Ce n’est pas la traduction qui prend du temps mais surtout la creation de billets originaux sur TechCrunch France ou US ou j ‘écris parfois mais aussi l’ attention nécessaire aux commentaires et les sollicitations de startups et demandes de conseils de toutes part (je mets un point d’honneur à répondre a tous meme brievement). Mais je m’éclate avec ce blog, j’apprends des tonnes de choses et rencontre des gens très interessants. Je pense que l’ audience apprécie également.

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Recherche pros du marché Jeunes (8/16 ans)

Dans le cadre d’un projet auquel je collabore, nous recherchons des pros du marché des “enfants” de 8 à 16 ans intéressés pour se lancer dans un fabuleux projet online en France (filiale d’une société étrangère).

Attention, ne me contactez absolument pas pour des CV “standards”. Nous recherchons des gens ayant une réelle expertise et expérience de ce marché et notamment un dirigeant à cette structure.

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Interview de VC N°1: Jean David Chamboredon de 3i répond à mes questions

Jean David Chamboredon Voici une nouvelle série d’entrevues complétement inédite en France. Je vais désormais interviewer au cours des prochaines semaines de grands VC’s (Capitaux risqueurs français) sur leur vision de l’entreprenariat et du Web 2.0.

Le premier à avoir joué le jeu est Jean David Chamboredon de 3i (l’un des plus célèbres fonds d’investissements mondiaux). Jean David est aussi un véritable Bloggueur (a découvrir ici) et contributeur régulier d’Agoravox (voir ici)

Désolé, je n’ai pas eu le temps de linker tous les liens de l’interview, je le ferais dès que j’aurais un moment.

NOTE: Jean David a répondu à mes questions la semaine dernière avant le rachat de Youtube par Google. Il ne traite donc pas de cet événement.


Si vous avez des questions supplémentaires, n’hésitez pas à les laisser en commentaire !


Interview

Bonjour Jean David, Peux tu te présenter  ?

43 ans, carrière en 2 étapes: premièrement 14 ans chez Capgemini chez qui j’ai appris beaucoup de choses et qui m’a permis de découvrir la Silicon Valley de 96 à 99. Ensuite 7 ans dans le monde du Capital-risque: Europatweb puis Viventures puis, depuis début 2004, 3i. Je suis un ingénieur intrapreneur devenu financier investisseur….

Je n’aime pas trop parler de ma vie privée mais je vais t’avouer un truc: je joue au golf !

Qui est 3i ? Ce fond a t’il une particularité ?

3i Group est une société “holding” britannique côtée sur le LSE.
Nous avons 3 particularités:
1/ nous investissons sur notre propre “balance sheet” (contrairement à la plupart de nos confreres qui “lèvent” de l’argent auprès de tiers)
2/ nous faisons les 3 métiers du Private Equity à savoir buy-out, capital développement et capital risque
3/ nous sommes directement implantés dans une quinzaine de pays incluant les principaux pays d’Europe de l’Ouest, les Etats-Unis, la Chine et l’Inde.

Tout ceci fait de 3i un “animal” assez unique: c’est souvent bon de pouvoir se différencier…

Peux tu me citer certains de vos succès passés ainsi que les plus belles sociétés de votre portefeuille actuellement dans le monde ? et particulièrement en France ?

Concernant le passé, 3i a été actionnaire de plusieurs centaines de “startups” donc la liste serait longue: pour limiter à des valeurs d’entreprise au delà du demi-milliard d’euros, je citerai, les IPO récentes de CSR (#1 mondial des chip bluetooth) en 2004 sur le LSE, de Interhyp (courtier en ligne de prêts immobiliers) en 2005 en Allemagne ou de Vonage (VoIP) sur le NYSE en 2006.

Pour la France, nos 3 investissements IT de 2005 à savoir www.priceminister.com, Dibcom (chip DVB-H) et Poliris (www.seloger.com) me paraissent très prometteurs.

Que penses tu de la mouvance Web 2.0 actuelle ?

Cette vague de nouvelles initiatives Internet correspond à une réalité d’usages nouveaux rendus possibles par le déploiement du broadband et quelques “outils” technologiques comme RSS ou AJAX. Cette vague correspond également à un phénomène de forte contribution de l’internaute qui produit les contenus et/ou n’est pas seulement un “cyberacheteur”. Certains sociétés connaissent un véritable succès d’audience ou d’usage et ces sociétés créent clairement de la valeur même si les modèles économiques sont encore à définir et valider.

Quand on me parle de bulle 2.0, je réponds “peut-être” mais avec 2 grandes différences par rapport à la bulle 1.0:
1/ les projets qui sont financés sont peu nombreux car les investisseurs sont très sélectifs
2/ peu de ces projets iront en Bourse car ils seront pré-emptés par les “tradebuyers” donc le risque de propagation d’un éventuel éclatement de bulle est très limité.

Quelles sont les tendances que vous suivez particulièrement en ce moment (Vidéo en ligne ? Shopping 2.0 ?) ?

Nous avons effectivement bien regardé le marché de la photo en ligne (nous sommes actionnaires de www.fotolog.com qui a une audience énorme), de la video en ligne et plus généralement de l’IPTV (nous avons investi récemment dans Aggregator en UK). Nous sommes également très intéressés par les modèles publicitaires/marketing interactif nouveaux (cf nos investissements dans Bluelithium aux US ou Screentonic en France).

Nous essayons cependant d’éviter de “suivre la horde” …

Quel conseil donnerais tu à un entrepreneur qui voudrait se lancer aujourd’hui ?

Tout dépend de son “background”. Pour un “repeat entrepreneur”, replonger… Pour un “first time entrepreneur”, s’associer avec des gens qui ont l’expérience de l’entreprise en mode “startup”…

Que doit faire un entrepreneur souhaitant lever des fonds aujourd’hui ? Prendre un intermédiaire ? Participer à des Barcamp ? se faire interviewer par Berrebi.org 🙂 ? Contacter 3i en direct ?

En France, contrairement aux US, même les bons projets sont intermédiés. Chausson, Aelios and leurs confrères jouent un rôle de filtre, de formalisation et de diffusion qui est utile (NDJB: J’en connais qui vont être contents en lisant ça 🙂 ).

Quand on s’appelle Chappaz ou Simoncini, on n’a cependant pas besoin de tels intermédiaires.

Si on me contacte en direct, je réponds toujours mais j’aime bien savoir d’où vient ce contact.

Un projet “out of the blue” doit vraiment être d’une qualité remarquable pour attirer notre attention.

Les entrepreneurs qui me contacteront suite à la lecture de cet interview seront bien reçus !


Quelles sont vos critères d’investissements ?

L’équipe, le marché, le business model, le “risk reward ratio”. L’équipe est le critère numéro un pour déclencher notre “appétit” et la thèse d’investissement se construit sur la base d’un “risk reward ratio” correspondant à notre mandat (par exemple, mettre peu d’argent dans un business sans risque mais à faible “upside” ne fait pas partie de mon mandat).

Quel est le plus gros problème que rencontre les sociétés que vous financez ? (Business Model ? Recrutement ? Taille du marché ? Internationalisation ? )

Difficile de généraliser: une société internet, un éditeur de logiciel ou une “fabless semiconductor company” ne font pas face aux mêmes enjeux. Si l’on évacue les sociétés qui ne rencontrent pas leur marché (car elles sont trop en avance ou présentent mal leur offre ou tout simplement ne répondent à aucune demande du marché), la difficulté commune des sociétés viables est sans doute de trouver le “second souffle” une fois les premières étapes difficiles franchies. Sans doute cela doit-il coincider avec des changements au niveau du management, du “board” et sans doute des actionnaires…

Peux tu nous donner un ordre d’idée des valorisations moyennes des sociétés dans lequel vous investissez ?

Très variable: de quelques millions d’euros à plus de 100 millions… La moyenne ne veut pas dire grand chose.

Quelle différence y’a t’il entre votre approche depuis la France comparée à celle de votre équipe aux Etats Unis ?

Le marché US est très compétitif pour les VCs. Mes partners Américains doivent donc trouver des “angles” particuliers pour exister profitablement sur certains segments du marché. Le marché Français est beaucoup plus petit (40 à 50 fois): je me dois d’être plus généraliste voire opportuniste. Il existe une grosse dizaine de projets excitants en France par an correspondant à nos critères: j’essaie avec mon équipe d’en saisir 3 ou 4.

Techcrunch France a rédigé un article sur les entrepreneurs français se lançant de l’étranger. Que penses tu de cette tendance ? Penses tu qu’ils ont raison ? tort ? Que conseilles tu aux sociétés de ton portefeuille ? (A priori, tu n’es pas du genre à limiter les critiques envers la France sur ton blog :))
L’article est ici

Je comprends ces entrepreneurs “expatriés”: s’ils veulent devenir riches, autant partir tout de suite !

Plus sérieusement, une véritable fibre entrepreneuriale est difficile à conjugueur avec le contexte franco-français (je pense notamment à la rigidité du code du travail et au niveau des prélévements obligatoires – même si on peut courir après les exonérations, les crédits d’impot voire les subventions !) et un “homerun” créant une entreprise valant plus d’un milliard d’euros dans la “technologie” passe forcément par le fait que la France ne peut pas être le premier marché (la France pèse environ 5% du marché mondial).

Ceci étant dit, le marché Français peut-être un “test bed” intéressant pour pas mal de sociétés: le tout est de savoir comment passer à l’étape “internationale”… Le raisonnement peut également être différent pour des “mass market plays” pour lequel la taille du marché Français peut être suffisante pour atteindre la masse critique.

Ton blog est très documenté et tu fais partie des grands contributeurs d’Agoravox ! Cela te prend t’il du temps ? Est ce pour toi un loisir ? Cela fait partie de ton métier ?

J’y pense dans ma voiture pendant la semaine, je fais quelques recherches sur le Net et j’écris d’un seul “jet” en fin de semaine.

Au départ, ma motivation était de comprendre le phénomène du blog à la fois techniquement et sociologiquement.

Maintenant c’est plutôt le simple plaisir d’écrire simplement et pédagogiquement sur des sujets plutôt “économiques” sur lesquels les média ne font pas, selon moi, forcément bien leur boulot.

Ca fait plutôt partie de ma sphère privée même si de nombreux lecteurs font partie de mon écosystème professionnel et que je ne ferais pas le métier que je fais si j’étais communiste !

Quelles sont les services Internet que tu utilises régulièrement ?

Dans le désordre en mélangeant les usages personnels et professionels: Priceminister, Google, Technorati, Alexa, Linkedin, Boursorama, Venturesource, Wikipedia, Wineandco, Golflounge, Blogger… (et si je cherchais un appartement ou une maison, Seloger !)

Merci Jean David !

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