Skip to content

Pas possible qu’il y ait ce genre de pourris en liberté !!!

Je cite  TF1 (article complet ici)

Une Marseillaise de 26 ans est entre la vie et la mort, grièvement brûlée dans l’incendie samedi soir d’un bus tombé dans un “guet-apens” dressé par des jeunes gens: elle est la première victime grave de violences perpétrées autour de l’anniversaire redouté de la première nuit d’émeutes en 2005. […]

Il est alors 21H15, et ces “adolescents” au visage dissimulé dans leur capuche forcent les portes du bus où sont assis une dizaine ou une douzaine de personnes, répandent de l’essence et y mettent le feu avant de prendre la fuite, selon une source policière. Outre trois personnes indisposées par les fumées, une jeune femme, grièvement atteinte, est conduite en urgence dans un service spécialisé: “Ses jours sont en danger, elle est brûlée à près de 60% de la surface du corps“, a précisé la direction de la communication de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM). “Son état est gravissime“, a renchéri le procureur Jacques Beaume un peu plus tard dans la nuit.

Désolé pour cette interruption momentanée non Web 2.0….mais ce genre de choses me rendent malade !

Related Post

Published inUncategorized

14 Comments

  1. Des jeunes gens ? :o)
    Des adolescents ? :o)

    Ils sont forts les journalistes pour ne pas appeler un chat un chat !

    Lamentable !

  2. Olrik Olrik

    Le vrai pouvoir c’est les médias et les journalistes ! Et là ya personne pour les critiquer.

    Des jeunes gens !! Des Gentils Monsieur !?

    Allez bruler l’AFP plutôt que les bus !

  3. Monsieur J Monsieur J

    Moi je ne sais pas à quoi pensent Legweak et Olrik mais je dirais “racailles” 🙂

  4. Exact, je comprends pas pourquoi ils ne disent pas racailles, voyous. Pff.

  5. Monsieur J Monsieur J

    La dernière fois que le futur président Sarko a cité ce terme, ça a mis le pays en feu….Les journalistes sont bons diplomates en fait 🙂

  6. Jeremie, je partage l’écoeurement que vous manifestez.

    Je suis aussi très surprise que l’esprit des commentateurs qui me précèdent sur ce message, s’attache essentiellement à ll’appellation que fait TF1, et à son choix de vocabulaire. Qu’est-ce que ça change ? l’indignation est uniquement verbale. Je pense d’abord à cette jeune femme, à sa famille, et je prie d’abord pour qu’elle puisse réchapper de la situation dramatique dans laquelle de criminels l’ont placée. C’est un attentat. J’ai une pensée pour la famille des perpétrateurs, qui n’est j’espère pas au courant des agissements de leurs enfants, et je me demande où est la responsabilité de chacun dans de telles atrocités.

  7. Jeremie, je m’aperçois que vous avez vous-même mis en caractères gras, les termes sur lesquels vos commentateurs se sont appesantis. Je suppose que vous-même donc avez besoin de souligner ces termes. Franchement, est-ce que cela change quelque chose ? La jeune femme, non plus, n’est pas désignée plus spécifiquement que cela.

    Il est important de penser à l’onaat dvarim aussi, non ?

  8. Le fait m’écoeure autant. Je pense d’ailleurs qu’on ne peut qu’être vachement sous l’emprise d’un coctail de drogues explosif pour perpétrer des actes pareils.
    Quant au vocabulaire, il n’y a qu’à se reporter au conflit Liban/Israël pour voir la panoplie dont sont capables les journalistes en fonction de leur tendance. Petit jeu; qui est-ce :
    soldat, résistant, activiste (!), terroriste, branche armée, civil, individu, enfant,personne,habitant, force de défense, étudiant, réfugié, abrité, …..
    Dans le cas dus bus Marseilleais c’est simple; ils ont commis un crime; ce sont des criminels.

  9. Prévention et Dialogue….. Ca a l’air super joli sur le papier mais qui a réussi à faire quoique ce soit dans ce domaine pour l’instant ?

  10. Olrik Olrik

    Les termes utilisés n’arrangeront pas l’état de santé de cette pauvre jeune fille.
    Mais cela démontre aussi le parti pri des médias dans ce domaine. Et ce parti pri a une incidence énorme sur comment ces criminels (déguisé en adolescents pour TF1 et consorts) se voient dans les médias. A chaque actes barbares dans les banlieues, les médias y associent indirectement mais systématiquement une excuse de type chômage, dégradations des bâtiments, etc. Mais il n’en reste pas moins les actes BARBARES qui eux, n’ont aucune excuse.
    Excuse-t-on Hitler par la crise des années 20 en Allemagne ? Non et c’est tant mieux.
    Un barbare reste un barbare quelque soit son environnement.

Leave a Reply

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.