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Qui est passé à IE7 et a abandonné Firefox ?

Parce que c’est ça la bonne question à poser 🙂 !

IE7 , ça peut être bien mais est ce que les fanas de Firefox ont basculé à cette nouvelle version ?

Je crois avoir lu que l’on ne peut pas avoir IE6 ET IE7 sur une meme machine. Vous confirmez ?

A vous !

Mise à jour: Les commentaires déjà déposés sont très intéressants (à lire ici). On y apprendre grâce à Stéphane, comment avoir IE6 et IE7 sur une meme machine simplement en renommant iexplore.exe en iexploreold.exe avant l’installation d’IE7. Je viens d’essayer , ça marche impeccablement bien !

Remise à jour : Non non, la solution de Stéphane ne fonctionne pas ! SLIxx nous propose de télécharger une version “standalone” d’IE6….(à voir ici)

Kwa nous donne aussi en détail les raisons de son passage à IE7.

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Published inUncategorized

60 Comments

  1. kwa kwa

    @ St@X > Si je comprends bien ton argumentaire, il faudrait que chaque acteur du marché des navigateurs aie sa part de poids dans la décision de l’orientation des nouveaux standards, d’une part, et dans leur application, d’autre part.

    Je ne connais pas le fonctionnement du W3C, mais je devine que cette association regroupe tous les acteurs majeurs d’Internet, y compris les repésentants des navigateurs, tout comme les développeurs de sites web. Cependant, je n’ai aucune idée sur la manière dont les standards sont validés ou non par cette entité ou une autre. Je devine que des experts proposent des idées, les étudient, et qu’un comité d’experts étudie les progrès en vue de les valider ou de les rejeter. Comment ces experts sont choisis et par qui m’échappe totalement. Passons.

    Plus récemment, on respecte à Microsoft, avec Internet Explorer, de ne pas respecter un standard communément admis par la communauté web : le CSS2. En somme, c’est une description de la manière dont les pages web doivent se mettre en forme. Parmi les plus grands défauts d’IE au niveau de l’implémentation du CSS2, on trouve une mauvaise interprétation des valeurs de “margin” et de “padding”. Ce sont pourtant parmi les élements du CSS2 de base, rendant le développement d’un site web très aléatoire si l’on n’y prête pas attention. Cependant, il existe des manières de contourner ce défaut. J’ignore s’il a été corrigé ou non avec la récente arrivée d’IE 7.

    Un autre reproche concernant IE 6 a été la non implémentation des attributs de survol des éléments du (X)HTML d’une page web. Autant le survol d’un lien était correctement pris en compte (se caractérisant le plus souvent par le changement de la couleur d’un lien que le curseur de la souris survole), autant le survol d’autres éléments, lui, n’était pas géré. Les développeurs s’en sortaient donc avec du JavaScript, lui-même possédant quelques incompatibilités.

    Certains de ces défauts, comme la gestion des attributs de survol, ont été corrigés par Microsoft avec le nouveau IE 7. D’autres ne l’ont pas été. L’équipe de développement s’était justifiée d’un timing limité (l’équipe ayant été par ailleurs requise sur l’interface utilisateur du prochain Windows Vista), d’une part, et d’une double priorité. D’abord, l’équipe s’est attelée à améliorer la sécurité du navigateur. Ensuite, l’équipe s’est évertuée à préserver la compatibilité ascendante avec les principaux sites web. Peut-on lui en vouloir ?

    Qu’en est-il de Firefox ou d’Opéra, deux autres navigateurs ? Eux aussi possèdent quelques incompatibilités. Quant à Safari, il est le premier navigateur à implémenter certaines fonctionnalités du prochain standard, à venir, en matière de mise en page : le CSS3.

    Aucun de ces navigateurs n’est parfait. Tous comportent des incompatibilités avec les standards web et tous comportent des failles de sécurité (Firefox en comportant même plus qu’Internet Explorer, c’est dire…) Si une entité externe devait veiller à ce qu’aucun des logiciels de navigation web ne sorte sur le marché tant qu’il reste des imperfections, aucun logiciel n’atteindrait jamais les utilisateurs ! Est-ce vraiment la voie à adopter ?

  2. St@X St@X

    @ kwa > “il faudrait que chaque acteur du marché des navigateurs aie sa part de poids dans la décision de l’orientation des nouveaux standards, d’une part, et dans leur application, d’autre part.”
    non pas exactement …
    le navigateur lit le contenu, le decode, c’est comme un codec, ou plutôt meme comme un compilateur, il scan un document, en comprend quelque chose, et le présente tel qu’il l’a compris.
    Le navigateur DOIT respecter le standard en cours, assurer une compatibilité avec les anciennes versions tant que possible, et PEUT éventuellement proposer de décoder de nouveaux formats de son cru, SOUS RESERVE de les avoir soumis à l’acceptation de tous, ou plutôt de la majorité.

    kwa saids:”Si une entité externe devait veiller à ce qu’aucun des logiciels de navigation web ne sorte sur le marché tant qu’il reste des imperfections”
    je n’ai jamais parlé d’une telle entité !
    chacun sort le soft qu’il veut quand il veut …
    simplement quand on sort un navigateur qui lit les pages plus ou moins bien formatées en xml et autres ml, css, javascript.. par des gens, je pense que le minimum serait que le navigateur respecte la “version” actuelle fixée.
    Dans le monde linux, un programme en développement est généralement disponible dans ses versions ancienne, actuelle (dite stable) et à venir
    Quand on parle d’une norme pour mettre en page un document, qui évolue, alors on a bien là aussi une version ancienne, une version stable et une en test … la version de test c’est la version ou TOUT le monde propose, fait, défait il n’y a pas UN grand manie tout qui va dire ça OUI, ça NON …
    Donc, pour revenir à notre histoire de navigateurs, je pense que le minimum c’est que le navigateur qui prétend être “in”, puisse décoder et présenter correctement, les documents formatés conformément à la version stable (actuellement admise comme telle par tous) … le minimum
    après si ça clignote et que ça fait pouet c du plus à faire valoir
    (vive les extensions firefox, c’est du grand art !)

    [mode “je suis fou”]
    Ce que je reproche aux grosses boites, c’est de rechercher la suprématie en imposant sans concerter les intéréssé, et en plus en leur faisant payer cher, en leur faisant croire qu’on les protèges des ‘pirates’ et des ‘virus’ qui sont de belles idées qu’ils aiment à manier pour que le novice reste tranquille.
    Vraiment je pense que internet c’est bel est bien une chose formidable, qui potentiellement, peut rendre à chacun ce qui lui appartient, à savoir son droit à l’expression, à l’ouverture et au partage avec les autres.
    Bien sur ça fait du tort à ceux dont le discours est unique et qui prone la fermeture, donc comme peu de gens qui utilisent les technologies sont informés, il est facile quand on à une certaine suprématie dans les foyers, de faire passer ses détracteurs pour des illuminés qui voudraient une révolution …
    [mode ok ok c’est bon]
    voilà, pas trop de parano non plus, je pense que ces boites et surtout les gens qui y travaillent ne récitent pas des mantras sataniques à chaque fois qu’ils pondent une norme bien obscur qui va faire d’eux les leaders, mais ils mettent quand même des batons dans les rouages de toutes les personnes impliquées sur internet, et plus généralement sur le monde numérique.
    ça fait plaisir quand même de débattre (troller?)

  3. kwa kwa

    @ St@X > Dans le monde de Microsoft, les nouvelles versions des logiciels sont généralement présentées et proposées au téléchargement aux développeurs (généralement inclus dans les abonnements MSDN) en version Alpha ou Bêta un an avant leur date de sortie officielle.

    Ces derniers temps, des logiciels tels que Windows Live Messenger 8.x, Windows Internet Explorer 7 ou encore Microsoft Office 2007 ont été ou sont proposés en Bêta publique. Chaque utilisateur peut alors s’exprimer et de rapporter les bugs et autres fonctionnalités étonnantes à l’éditeur. J’ai moi-même signalé un bug dans l’une des versions de Windows Live Messenger 8.0 Beta qui a été corrigé avant la sortie du logiciel (et… euh… remplacé par un autre, passons), ce qui montre bien qu’il y a un dialogue entre l’éditeur et ses utilisateurs.

    J’ai l’impression que l’on oppose un peu trop le monde du “libre” qui se veut vertueux et le monde “commercial” qui se veut machiavélique…

  4. kwa kwa

    @St@X > Au fait, tes interventions me font penser à un autre domaine où l’édition des logiciels est contrôlée : les consoles de jeux vidéo. Dans l’industrie des consoles, les développeurs et les éditeurs se doivent de soumettre leur candidature aux constructeurs de consoles (et ce, sur chacun des trois territoires distinctement : Japon, Etats-Unis, Europe) en vue de faire approuver sa société et lui permettre par la suite d’acquérir des kits de développement (propriétaires et soumis à des accords de confidentialité stricts).

    Par après, chaque jeu doit être soumis à chaque constructeur, et ce sur chacun des territoires, en vue d’être édité. Il existe plusieurs stades, résultat sur des avis consultatifs (Nintendo avait à une époque l’habitude de donner une note et un commentaire écrits sur le jeu en cours de développement pour aider l’éditeur et le développeur à améliorer leur produit et à anticiper les ventes) ou sur la validation ou non du jeu.

    Concrètement, en phase finale, chaque jeu est soumis en vue de son approbation. Le jeu se doit de passer par une unité d’assurance qualité de chaque constructeur qui utilise un document de validation de plusieurs à plusieurs dizaines de pages. Par exemple, parmi les exigeances obligatoires, le jeu ne doit pas planter (sur des périodes d’au moins 8 heures d’affilé, testé en mode démo non interactive et en mode jeu interactif), les scores ne doivent pas être mis trop près des écrans (car ils seraient invisibles sur certaines télévisions) ou la manette ne doit pas vibrer plus d’un certain temps (car les joueurs avec des articulations fragiles, fatiguées ou des mains ou doigts cassés pourraient en subir des séquelles).

    Bref, chaque constructeur de chaque console s’assure du bon fonctionnement des logiciels avant le passage à la fabrication. Les jeux sont fabriqués exclusivement dans les usines des constructeurs, les éditeurs ne peuvent les faire faire par eux-mêmes, ce qui suppose donc impérativement la validation du jeu par le service assurance qualité. Certes, certains jeux comportent tout de même des défauts, voire des bugs graves, malgré l’attention qui leur est consacrée.

    Je vois mal comment les logiciels pour ordinateurs pourraient bénéficier d’un tel modèle de validation. En effet, il est coutume, dans l’informatique, de laisser à chacun le soin de distribuer son logiciel par les moyens qu’il juge utiles, dans l’état qu’il juge bon. Peut-être serait-il intéressant, alors, de mettre en place un consortium de validation de logiciels, qui serait alors garant de la qualité d’un logiciel, ou du moins de son bon fonctionnement ? Mais alors, il faudrait autant convaincre les éditeurs que les distributeurs, tout en expliquant aux utilisateurs que les délais que ce type de processus d’assurance qualité additionnelle que cela comporte est à leur avantage… Pas évident, dans un monde où l’instantané semble roi, telle la distribution des logiciels par Internet…

  5. St@X St@X

    kwa saids:”J’ai l’impression que l’on oppose un peu trop le monde du “libre᾿ qui se veut vertueux et le monde “commercial᾿ qui se veut machiavélique…”
    non ce n’est pas tout à fait ça, il n’est pas question de bien ou de mal, mais de progression collective qui avance ou qui est bloquée …
    Mais j’ai bon espoir que “libre” et “commercial” se rejoignent intelligemment, le terrain est grand et tout le monde a des compétences.

    Pour ce qui est des logiciels, validation etc, je te propose d’aller faire un tour sur sourceforge.net ou tu verra de nombreux projets hebergés et en fourmillement … tu peux même t’inscrire sur l’un deux pour traduire une doc, ou en rédiger une pourquoi pas ?
    il y a des tas de projets connus qui sont issus de sourceforge, comme azureus par exemple …
    Mais sourceforge ne sont pas les seuls non plus, il faut aussi considérer tout ceux qui développene en team, ou qui se consacrent à une distribution … etc … il y a tant à faire !

    autrement, pour parler du problème de l’interpreteur de page (le navigateur ; ) tu pourras trouver un propos pertinent là => http://www.ryxeo.com/index.php/2006/07/12/56-notre-site-a-t-il-des-problemes-avec-internet-explorer
    c’est le site d’une société de service en logiciel libre …
    ce genre de société commence à éclore un peu partout … c’est peut être un signe que le business modèle est en train de changer …
    have a good day

  6. kwa kwa

    @ St@X > La société dont tu donnes l’adresse semble se féliciter d’être incompatible avec Internet Explorer. Ce n’est pas ce que je qualifie d’exemple à suivre pour ce qui est du respect des utilisateurs.

    Un développement web est nécessairement un développement multi-plateformes. Même les compilateurs de langages standardisés, auxquels tu fais référence dans un précédent commentaire, comme le C ou le C++, comportent des différences de fonctionnement, des bugs et des fonctionnalités différentes. D’ailleurs, à partir d’un même fichier source, ils produisent tous des codes exécutables différents. Il n’y a donc pas lieu de s’étonner qu’entre navigateurs web, il y ait aussi des différences !

    A l’école, on apprend le béa-ba d’un langage ou d’une technique. En stage, on voit ces connaissances confrontées à un cas réel. L’expérience permet ensuite d’apprendre à identifier tous les cas particuliers et autres exceptions de la vie réelle.

    L’approche que semble prendre la société que tu donnes en exemple semble assez scolaire. Je ne serais pas du tout rassuré de leur confier la réalisation d’une application en ligne s’ils m’expliquent ensuite que les incompatibilités de leur application chez 80 % des utilisateurs du service ne viennent pas de leur fait, mais d’Internet Explorer !

    Faire du code (X)HTML, CSS1 ou CSS2 strict, c’est facile ! Faire du code compatible avec l’ensemble des navigateurs, c’est autrement plus compliqué !

  7. J’adopte une position moins radicale dans ma Web Agency, mais je salue l’initiative de ces personnes qui n’ont pas froid aux yeux 🙂

    Viva Firefox !

  8. Boombasteph Boombasteph

    Ben j’ai le meme probleme que billy : FireFox 1.5.0.1 et IE 7.0.5730.11 et impossible de desinstaller Ultraedit. Uninstall.exe se lance mais ne fait rien et bloque le chargement des page dans IE. Incroyable, non ???

    Help !!!

  9. Fabrice Fabrice

    moi aussi j’ai exactement le meme probleme avec ultra edit!!!
    Depuis l’installe de la version 7 de IE, je ne peux pas supprimer la version demo d’ultra edit, et je ne peux pas n,on plus installer la version officielle.
    Si quelqu’un à une idée pour régler ce probleme merci de me la transmettre

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